Côte bretonne...
Le 17 juillet 2022
78mm, 1/560 seconde à f/6,7 en 100 ISO
Le phare du Four, phare en pleine mer situé au large de la presqu'île Saint-Laurent, sur la commune littorale d'Argenton, elle même située dans la ville côtière de Porpoder.
Le phare du Four, situé au large, sur un rocher isolé, élevé de 60 mètres environ au-dessus des plus hautes mers, est une dépendance de la commune de Landunvez.
Ce phare, qui a une hauteur de 28 mètres, et dont le feu blanc, fixe pendant trente secondes, présente huit éclats successifs pendant les huit secondes qui suivent.
Il est considéré comme le point de séparation entre la Manche et l'Océan Atlantique.
Benjamin Girard, qui le décrit ainsi en 1889.
65mm, 1/750 seconde à f/6,8 en 100 ISO
Le phare du Four et une marque latérale babord qui permet de rentrer en sécurité au port, en suivant le chenal d'accès.
65mm, 1/530 seconde à f/6,8 en 100 ISO
Petit port à la presqu'île St Laurent.
Située au nord-ouest de la commune de Porspoder, sur un morceau de terre qui sépare la mer d'Iroise de la Manche, la presqu'île Saint-Laurent est un espace naturel protégé.
Par moment de tempête, c'est le lieu idéal pour observer les vagues déferler contre le phare du Four, situé à environ deux milles de là.
128mm, 1/750 seconde à f/4,4 en 100 ISO
Petite barque à moteur à la Grève aux bateaux sur la presqu'île Saint-Laurent. Commune de Porspoder.
15mm, 1/1100 seconde à f/7,2 en 100 ISO
Barque et rochers.
Sur la gauche de la photographie, la presqu'île Saint-Laurent.
78mm, 1/640 seconde à f/6,7 en 100 ISO
Balise latérale babord indiquant le chenal à suivre pour entrer dans le port de Porspoder.
21mm, 1/1400 seconde à f/7,3 en 100 ISO
Plusieurs petits bateaux amarrés dans le petit port de la presqu'île.
10mm, 1/800 seconde à f/5,2 en 100 ISO
Falaises vu d'en haut, à la Point Saint Mathieu, Beg Lokmazhe en breton, à proximité du Conquet, sur la commune du Plougonvelin.
Cette côte escarpée est bordée de falaises de près de vingt mètres de hauteur.
10mm, 1/800 seconde à f/4,6 en 100 ISO
Côte escarpée à la pointe St Mathieu.
Les ports de Brest
Le 16 mars 2022
Petite escapade de fin de journée, sur un coup de tête, je profite de cet journée qui fut ensoleillée pour aller faire quelques clichés de fin de journée...
52mm, 1/125 seconde à f/5,6 en 400 ISO
Silhouette des grues de la base militaire de Brest, au soleil couchant.
18mm, 76 secondes à f/6,3 en 100 ISO
Lumières de la base navale de Brest
18mm, 25 secondes à f/3,5 en 100 ISO
La presqu'île de Plougastel, vue depuis une sorte de petite plage qui borde une carrière au plein coeur du port de commerce de Brest
50mm, 15 secondes à f/18 en 100 ISO
La zone de réparation des navires de commerce.
Une zone où les ouvriers travaillent vingt quatre heures sur vingt quatre.
Impossible de s'approcher plus près.
La photographie a été prise depuis la carrière du port de Brest.
18mm, 30 secondes à f/18 en 100 ISO
Grues au port de commerce de Brest.
La lumière qui se dégage de la photographie donne cet atmosphère étrange...
29mm, 30 secondes à f/4,5 en 100 ISO
Passerelle sur un quai au port de Brest.
18mm, 72 secondes à f/6,3 en 100 ISO
Balise latérale tribord -clignontant vert- pour entrer dans la marina du Château à Brest.
Enfin, j'ai décidé de me rapprocher de la zone d'activité du port
55mm, 10 secondes à f/9 en 100 ISO
Zone industrielle du port de commerce.
34mm, 30 secondes à f/18 en 100 ISO
Usine Cargill -Stockage et traitement du soja- à Brest.
55mm, 15 secondes à f/18 en 100 ISO
Bistrots et enseignes lumineuses au port de pêche, non loin de la zone d'activité et des usines qui tournent jours et nuits à plein régime.
30mm, 15 secondes à f/18 en 100 ISO
Ruelle sombre dans la rampe du "Merle Blanc"
Puis, se faisant tard, je décide de remonter en ville et décide d'emprunter la passerelle qui traverse la gare en enjambant les rails.
55mm, 10 secondes à f/5,6 en 100 ISO
Gare de Brest
Les ponts de Brest
Le 16 mars 2022
Il est minuit passé.
Je décide de prendre la voiture, l'appareil photo et le trépier pour aller faire quelques photos de ce que j'appel "les ponts de Brest".
Il s'agit de deux ponts qui relient la ville du Relecqu-Kerhuon à la presqu'île de Plougastel.
A cette heure tardive, ou très tôt, ça dépends la façon de voir les choses, j'ai du faire des expositions plutôt longues pour capter un maximum de lumière.
20mm, 132 secondes à f/10 en 100 ISO
Le pont Albert Louppe est exclusivement piéton -Ce qui n'empêche pas les scooters de le prendre...-. Mais c'est un lieu idéal pour faire du longboard ! La vue y est imprenable sur Brest.
Surtout de nuit !
24mm, 30 secondes à f/4 en 100 ISO
Les lumières de la ville de Brest se reflétant dans l'Anse du Moulin Blanc.
Fin fond de la rade de Brest.
22mm, 152 secondes à f/22 en 100 ISO
La rade de Brest, minuit passé, vue depuis le pont Albert Louppe.
Sur la droite, la ville de Brest bien éclairée et sur la gauche, la presqu'île de Roscanvel.
20mm, 1/125 seconde à f/3,8 en 100 ISO
Lumières de la ville de Brest, se reflétant sur les nuages et leurs donnant cette lumière d'ambiance derrière les arbres et la falaise aux pieds du pont Albert Louppe, sur le rivage.
26mm, 30 secondes à f/4,2 en 100 ISO
Le pont de l'Iroise, on y arrive.
C'est ce dernier qui est ouvert à la circulation. Il permet de rejoindre Brest à Plougastel en empruntant la quatre voie.
C'est également la route pour aller à Quimper.
Notons la circulation encore dense sur cette voie rapide à cette heure tardive de la nuit.
20mm, 112 secondes à f/10 en 100 ISO
Le pont de l'Iroise vu depuis le rivage, en très longue exposition pour capter toutes les lumières de la ville...
20mm, 126 secondes à f/8 en 100 ISO
Il ne m'aura fallut pas moins de 126 secondes pour faire ce cliché du duo, les ponts de l'Iroise et Albert Louppe réunis.
En face, sur l'autre rive, se trouve la presqu'île de Plougastel.
En dessous de ces deux ponts coule l'Élorn.
Come back to '44'
Le 15 mars 2022
Les photographies suivantes ont été prises lors de ma sortie sur la côte Normande à l'occasion du 75ième anniversaire du débarquement de Normandie.
Toutes les personnes sur ces photographies essayent de coller le plus possible à la réalité du terrain tel qu'il était en Normandie lors du débarquement Allié, la semaine du 6 juin 1944 et les jours suivants.
70mm, 1/500 seconde à f/5,6 en 110 ISO
Soldat infirmier américain marchant sur la plage...
170mm, 1/1600 seconde à f/5 en 400 ISO
Soldat américain, assis sur Utah beach, l'une des cinq plages du débarquement.
300mm, 1/2000 seconde à f/5,6 en 360 ISO
Soldat américain marchant seul sur Omaha beach...
145mm, 1/2000 seconde à f/5,6 en 250 ISO
Couple d'américain en tenues d'époque non loin de la plage d'Utah.
40mm, 1/250 seconde à f/8 en 100 ISO
Le pont de Bénouville, renommé Pegasus Bridge en l'honneur des parachutistes britanniques dont le cheval ailé Pégase était l'emblème.
Lors de l'opération Deadstick, élément de l'opération Tonga, le nom de code de la prise du pont était Euston 1.
Sa prise de contrôle par les commandos britanniques, arrivés dans la nuit du 5 au 6 juin 1944 par planeurs, est un des hauts-faits des prémices du débarquements de Normandie
38mm, 1/125 seconde à f/5,6 en 110 ISO
La Jeep Willys, véhicule tout-terrain américain sorti d'usine en 1941.
Ce véhicule est aujourd'hui considéré comme un emblème de la Seconde Guerre Mondiale.
55mm, 1/320 seconde à f/9 en 100 ISO
Tank Churchill Mk VII situé sur la côte 112.
Une hauteur dominant la plaine de Caen, tout près du village d'Esquay-Notre-Dame.
40mm, 1/80 seconde à f/5,3 en 400 ISO
Ce fut un lieu de combats intense entre les anglo-canadiens de la 43e division d'infanterie et les allemands de la 9e Panzerdivision SS Hohenstaufen
105mm, 1/500 seconde à f/5,6 en 160 ISO
Camp américain gardé par un MP -Military Police-. Non loin de Grancamp-Maisy
70mm, 1/500 seconde à f/5,6 en 160 ISO
Truck militaire américain de la Seconde Guerre Mondiale sur une route Normande.
70mm, 1/500 seconde à f/5,6 en 100 ISO
Sur une vieille route de campagne...
55mm, 1/200 seconde à f/7,1 en 100 ISO
Véhicule militaire de l'US Army, daté de la Seconde Guerre Mondiale, sur route campagnarde Normande.
Omaha beach
Le 15 mars 2022
70mm, 1/500 seconde à f/5,6 en 100 ISO
Affectée aux troupes américaines, elle est celle où les Alliés perdirent le plus de troupes, ce qui lui a valu le surnom de "bloody Omaha"
Au total, sur Omaha, c'est 34 000 hommes et 2 800 véhicules qui seront débarqués. Mais les pertes sont colossales: presque 1000 tués et 2000 blessés ou disparus.
N'oublions pas.
55mm, 1/250 seconde à f/8 en 100 ISO
On distingue encore aisément les dunes sur lesquels les soldats se sont habrités et les sentiers qu'il ont empruntés.
20mm, 1/200 seconde à f/7,1 en 100 ISO
Plus haut est érigé le cimetière militaire américain de Colleville sur Mer.
Ici, dix blocs, séparés par l'allée centrale en deux groupes de cinq, forment l'espace dédié aux sépultures où reposent les corps de 9386 personnes, dont 307 inconnus et quatre femmes.
18mm, 1/160 seconde à f/6,3 en 100 ISO
Militaires étrangers en tenue moderne se promenant parmis les tombes avant une cérémonie officielle de commémoration en présence du chef de l'État, du président des États Unis ainsi que du premier ministre britannique.
Deux soldats, deux époques.
Le 15 mars 2022
70mm, 1/500 seconde à f/5,6 en 125 ISO
Deux soldats, l'un en tenue de la Seconde Guerre Mondiale, l'autre en uniforme actuel.
Il fallait que j'immortalise ce moment sur la plage d'Utah Beach.
Commémoration du débarquement de Normandie, le 06 juin 1944.
Commémoration du D-Day
Le 15 mars 2022
Voici une partie de ce qui a été pris derrière les caméras lors de cette journée de commémoration du débarquement en Normandie.
240mm, 1/1000 seconde à f/5 en 100 ISO
La patrouille de France venue faire une démonstration devant les différents chefs d'États présent lors de cette journée de commémoration.
145mm, 1/2500 seconde à f/4,5 en 100 ISO
Cérémonie en hommage au piper Bill Millin.
Il était joueur de cornemuse personnel de Lord Lovat, commandant de la 1re Brigade spéciale britannique lors du débarquement en Normandie.
Les allemands, le voyant jouer de la musique au lieu de se battre, le considèrent alors comme fou et lui épargnent les balles.
Finalement, Bill Millin est décédé le 17 août 2010.
135mm, 1/1600 seconde à f/4,2 en 100 ISO
Vétéran anglais rendant hommage à son drapeau lors de l'hommage à Bill Millin.
55mm, 1/125 seconde à f/5,6 en 200 ISO
"I hope that you will never know the atrocities that I could live"
Un vétéran anglais du débarquement racontant ses mémoires à un jeune garçon...
55mm, 1/160 seconde à f/6,3 en 100 ISO
Dispositif de sécurité renforcé aux abords de Ouistreham où étaient présents les différents chefs d'États...
300mm, 1/1000 seconde à f/5,6 en 100 ISO
... la dissuasion navale était également présente à Ouistreham avec plusieurs bâtiments français, deux anglais et même deux navires américains.
300mm, 1/1250 seconde à f/5,6 en 400 ISO
Plusieurs chaîne TV du monde entier étaient présente pour couvrir cet évènement si particulier. France 24 (Photographie) était de la partie.
300mm, 1/2000 seconde à f/5,6 en 280 ISO
Plusieurs dizaines de journalistes de tous pays était présent lors de cette journée de commémoration du D-Day en Normandie.
55mm, 1/160 seconde à f/6,3 en 100 ISO
Enfin, de nombreux pays avaient répondu présent pour cette journée hautement symbolique. Réunis tant par le passé commun que pour bâtir la paix future...
Campagne Normande
Le 15 mars 2022
36mm, 1/400 seconde à f/10 en 100 ISO
55mm, 1/320 seconde à f/9 en 100 ISO
55mm, 1/320 seconde à f/9 en 100 ISO
50mm, 1/125 seconde à f/5,6 en 140 ISO
28mm, 1/125 seconde à f/5,6 en 100 ISO
Décidément, qui a dit que la Normandie c'était ciel gris et parapluie ?
Port dans la brume.
Le 15 mars 2022
35mm, 1/190 seconde à f/5,6 en 100 ISO
Le plus pittoresque des port de la Hague, situé à St-Germain-des-Vaux, port Racine est réputé pour être le plus petit port de France.
Le port habrite des barques de pêcheurs plaisanciers qui sont amarrés par des cordages.
Vue du Mt St Michel de Braspart.
Le 15 mars 2022
35mm, 1/200 seconde à f/7,1 en 100 ISO
Arbre mort sur le mont Saint Michel de Braspart. En arrière plan, vous pouvez aperçevoir le réservoir Saint-Michel. Une étendue d'eau dans ce qui semble être devenu un endroit lunaire.
Derrière moi, plus haut, se dresse la chapelle St Michel de Braspart que nous avions précédemment grimpé. (N'hésitez à cliquez sur les liens en bleu pour vous rendre directement sur l'article concerné).
Mont Saint Michel de Braspart. Monts d'Arrée, Parc naturel régional d'Armorique.
Huelgoat.
Le 15 mars 2022
10mm, 1/250 seconde à f/4 en 720 ISO
Perdu dans ce dédale de rochers granitiques au milieu de la "forêt du chaos". Une forêt où vous rencontrerez une nouvelle légende à chacuns de vos pas...
Huelgoat. Parc naturel régional d'Armorique.
Centrale nucléaire de Brennilis
Le 15 mars 2022
55mm, 1/160 seconde à f/6,3 en 100 ISO
Cela se déroule en pleine forêt, non loin du barrage hydroélectrique de Brennilis.
Cette ancienne centrale nucléaire expérimentale équipée du réacteur à eau lourde N°4. C'était un réacteur à eau lourde refroidi au gaz carbonique et qui fonctionnait à l'uranium non enrichi.
55mm, 1/160 seconde à f/6,3 en 100 ISO
Le centrale, toujours en démantèlement, n'en demeurent pas moins surveillée vingt quatre heures sur vingt quatre.
L'exploration en sera d'autant plus difficile !
18mm, 1/640 seconde à f/13 en 100 ISO
Le réservoir de Brennilis, ou réservoir Saint Michel, qui alimente dorénavant l'usine hydroélectrique EDF de Brennilis.
Au fond à droite, le mont Saint-Michel de Braspart sur lequel se dresse une petite chapelle et où l'on peut encore apercevoir les vestige d'une DCA allemande, posté à cet endroit stratégique des Monts d'Arrée, en Finistère centre.
10mm, 1/640 seconde à f/4,5 en 100 ISO
Au sommet du point culminant des Mont d'Arrée, un véritable paysage lunaire.
Pays des comptes et légendes...
Poésie...
Le 14 mars 2022
Instant poétique sur les marches de la cathédrale Saint-Maurine.
Angers.
Éclairé !
Le 14 mars 2022
Petit instant de vie dans une ruelle grisâtre du centre ville d'Angers...
Sur le sentier du vieux pont.
Le 14 mars 2022
30mm, 1/320 seconde à f/5,6 en 200 ISO
Le vieux pont ferroviaire de Segré, à Angers.
Les rayons du soleil frappaient une dernier fois cet acier coloré par la rouille, installée depuis plusieurs années.
26mm, 1/100 seconde à f/7,1 en 200 ISO
En lisière de champs.
Je trouvais la lumière du soleil rasant cet herbe, particulièrement belle...
35mm, 1/60 seconde à f/5 en 640 ISO
Vieille clôture et fil barbelé.
30mm, 1/60 seconde à f/4,5 en 800 ISO
Sur ma droite, un joli coucher de nuages se reflétant sur la Mayenne.
Railway - La gare d'Angers.
Le 14 mars 2022
32mm, 1/80 seconde à f/5,6 en 2000 ISO
32mm, 1/80 seconde à f/5,6 en 1600 ISO
Ruelle déserte...
Le 14 mars 2022
12mm, 1/20 seconde à f/3,5 en 3200 ISO
Vieille ruelle d'époque médiévale. Proche du château d'Angers.
Signalisation ferroviaire en gare d'Angers
Le 14 mars 2022
55mm, 30 secondes à f/22 en 200 ISO
55mm, 25 secondes à f/22 en 200 ISO
INSIDE
Le 09 mars 2022

J'ai tenu à faire cette exploration mais sachez qu'il est strictement interdit d'accéder aux coques et apparaux (propriété de la Marine Nationale), en plus c'est super dangereux, il y a des trous, des bouts de tôles rouillés, bref mieux vaut être vacciné contre le tétanos. Et si vous tombez, personne ne viendra vous chercher...
Bref un véritable terrain aussi hostile qu'intriguant. Allez, let's go !
Le ciel est encore bien sombre. Il a plu tout le long du trajet, il pleut encore. Et je me retrouve soixante-dix mètres au-dessus du niveau de la mer, garé ici, sur le parking de l'abbaye, au milieu de la forêt. C'est l'endroit où se garer le plus proche du site à visiter.
Le reste c'est de la marche, enfin si ce n'est pour ne pas dire de la descente en rappel !
Un sac étanche de vingt kilogrammes sur le dos, mon appareil photo dans un autre, chaussures Rangers aux pieds, une corde d'alpiniste entre le cou et l'aisselle gauche, et bien habillé par ce temps maussade, je m'aventure dans la forêt en pente raide. Entre racines et rochers.
La pluie s'est calmée mais le ciel reste sombre.
Des gouttes coulent le long de mon visage à cause de l'eau restée sur les feuilles d'arbres. Après cette tumultueuse descente sous une humidité inimaginable et une terre aussi glissante que du verglas, j'arrive à de petites marches amenant sur un muret dont la vue donne sur une petite plage aussi rocailleuse que vaseuse et je ne vous parle pas des algues !
Proue du navire à visiter.
Et là, devant moi, se dresse des mastodontes d'acier, rouillés par le temps. Je me sens si petit à côté. Mais une chose est certaine, je veux voir cela de plus près !
Cimetière naval de Landévennec.
Soudain, un grondement de plus en plus lourd et fort se fait entendre au loin.
De l'orage ? Non. J'ai la réponse quelques minutes plus tard: c'était le bruit de la pluie tombant sur l'eau et résonnant du fait de la topologie du terrain.
Je me met à l'abris sous un arbre en attendant que le plus gros soit passé.
Je me contente alors d'admirer ces bêtes rouillées.
Le Colbert en arrière plan.
J'étudie en attendant, les cartes, la bathymétrie et les courants qui traînent dans le coin. La mer est pleine à H+1, mais de vives eaux. Une chose à ne pas négliger.
Carte littoral du méandre de l'Aulne, sur la petite commune de Landévennec, dans le Finistère. Source: GéoPortail (site de ressources de cartes du gouvernement)
Carte Raster Marine du méandre de l'Aulne. Source: Service Hydrographique et Océanographique de la Marine (SHOM)
Courants marins à H+1. Source: Service Hydrographique et Océanographique de la Marine (SHOM)
Relevé bathymétrique. Source: Service Hydrographique et Océanographique de la Marine (SHOM)
Carte OpenSeaMap du méandre de l'Aulne à Landévennec...

...Informations relatives à l'endroit à visiter dans le méandre de l'Aulne. (dans OpenSeaMap)
Les cartes sont plutôt concluantes (même si, comme vous pouvez le remarquer dans les informations données par OpenSeaMap, il est effectivement annoté que les coques sont interdites d'accès. Je le répète une fois de plus, mais ne le faite pas). Après la pleine mer, il y aura de légers courants d'autant que je me trouve dans un méandre proche de la mer.
Une dernière bouffée de nicotine et j'ai déjà mis ma combinaison, tandis que la pluie se calme.
Une dernière bouffée de nicotine...
La violente averse a cessé, le vent aussi s'est bien calmé.
Étale de pleine mer, des conditions favorables: mer d'huile et pas ou peu de courant. J'avais déjà repéré les lieux plusieurs fois. Je m'étais longuement renseigné en amont sur le navire que j'allais visiter.
Bref, je commençais à connaître ses ponts, ses coursives, ses locaux, sans même l'avoir vu ! Il n'empêche que je garde un plan plastifié sous la main.
Le navire est situé à une cinquantaine de mètres. Je me trouve au nord et vais nager en direction du sud-est. Le peu de vent qui souffle viens du sud. Je serait donc abrité par la coque.
Dessin et plan d'action !
Le navire intéressant...
Je m'équipe et vérifie le bon fonctionnement de mon matériel.
J'opte pour une combinaison sèche.
Une puissante lampe torche de huit-cent-soixante lumens ne me quittera pas ainsi qu'une frontale étanche de plus faible intensité.
J'embarque également l'appareil photo dans son sac étanche et une seconde carte SD. Je prends aussi de bons gants résistants et antidérapants. Je me contenterai de nager sans palmes. Cela m'encombrerait.
Je garde cependant la ceinture de plongée, où j'y ai mis des mousquetons, notamment pour y accrocher mes chaussures.
J'enfile mes chaussons en néoprène de trois millimètres d'épaisseur, et ça y est, tout est bien accroché, je suis prêt.
Je m'avance dans cette eau trouble mélangée à une sorte d'argile et de boue. La visibilité est nulle, les premiers pas sont prudents, il y a de nombreux petits rochers cachés.
Les premiers mètres passés je commence à ne plus avoir pieds et me mets à nager.
C'est parti.

C'est parti !
Après vingt bonnes minutes de nage, j'atteins le coffre d'amarrage.
Ce coffre est un véritable iceberg: il paraît minuscule de loin mais c'est une véritable masse de près de trois mètres de haut (dont environ un mètre est émergé). Sa circonférence doit être de près de six mètres.
Non sans quelques difficultés, je parviens à escalader cet imposant bloc.
Je m'y pose un instant, mais pas trop longtemps, afin de planifier comment grimper le long de la chaîne tendue, fixant fermement le navire par la poupe. Et puis le temps de faire une photo aussi !
Proues de patrouilleurs côtiers au cimetière des navires de Landévennec.
Vue panoramique depuis le coffre d'amarrage. Je vais monter sur le navire à l'extrème droite.
Vu du coffre, il semble facile de la grimper, reste à passer à l'action. Finalement, mon jeu d'équilibriste n'était pas si compliqué que ça: en cinq minutes je me suis retrouvé sur le pont arrière de cet escorteur d'escadres vieux de plusieurs decénnies.
Cela se voit à son état: de la rouille, de la mousse, de l'acier. C'est tout ce que l'on voit.
J'enfile mes Rangers et monte rapidemment mais prudemment jusqu'à la passerelle. Seul moyen d'accéder à l'intérieur.
La passerelle.
La passerelle justement.
On y accède par une épaisse et lourde porte étanche, qui n'est pas condamnée et encore moins grippée. Étonnant. Cette porte ouverte, j'entre et la referme derrière moi.
Le silence règne en maître. Un silence pesant mais que j'apprécie beaucoup. Les vitres sont couverte d'un amas graisseux, de mousse et de saletés.
Je remarque des bris de verre par terre mais je ne vois rien de cassé.
Tout le matériel d'époque est encore en place.
Vue à travers le hublot.
Mais je ne peux m'empêcher de regarder par les vitres, et me mettre à la place de ces marins qui durant des années n'ont vu que l'océan.
Sur la gauche j'aperçois les compagnons de ce bâtiment militaire: ils sont six. Un croiseur, un escorteur et quelques patrouilleurs côtiers.
Le croiseur Colbert, le plus imposant navire du cimetière.
Pour le moment je n'ai pas encore besoin d'allumer ma lampe. La lumière du jour est encore suffisante. Mais derrière moi se trouve une autre salle sans fenêtre, plongée dans le noir.
Rien de bien intéréssant: des bureaux vides, des salles de conférences. Des locaux d'officiers en quelque sorte.
Je décide d'aller plus en profondeur, au pont inférieur. Je n'y trouve rien non plus: des toilettes, des vestiaires, une salle radio (dont l'équipement a dû être récupéré par l'armée) et une salle où l'on voit encore sur la porte une plaque où les mots "Accès réglementé" sont gravé en blanc sur fond rouge.
Il s'y trouve des écrans radar. Certains équipement, dont des écrans, sont encore présents. On est à des années lumières de la technologie d'aujourd'hui, mais découvrir, c'est ce qui me plaît. J'y trouve également un calendrier daté de mon année de naissance, punaisé sur un tableau de liège, lui même fixé sur ce mur froid d'acier.
Toujours ma lampe allumée, je descends encore d'un pont.
Photographie non retouchée.
J'erre dans les longues coursives où règne cette odeur de graisse. Il fait noir, vraiment noir.
J'entre dans une pièce située sur ma gauche. Il s'agit du mess.
Les tables sont encore présentes. Certaines autres pièces de mobilier le sont également dont un miroir joliement décoré mais recouvert de poussière, qui se trouve derrière moi.
Je ne vous raconte pas le frisson qui m'a parcouru quand je me suis retourné et découvrant ma silhouette !
L'ancien mess du navire militaire à l'abandon au cimetière des navires militaires de Landévennec.
Je quitte cette pièce et me retrouve de nouveau dans ces interminables coursives, où comme seule ambiance, ce léger sifflement de vent qui pénètre par de petits orifices dans la structure du bâtiment dus à l'érosion du métal.
J'entends aussi de l'eau qui coule goutte à goutte, certainement à cause de cette pluie diluvienne qui s'est abattue quelques instant auparavant.
La situation est digne d'un film d'horreur: plongé dans le noir avec pour seule visibilité le faisceau de ma lampe, des bruits inquiétants, la solitude et le caractère abandonné du lieu.
Mais encore une fois, c'est ce que j'aime dans ce genre d'aventure.
Des coursives aux bruits inquiétants...
L'odeur de graisse est de plus en plus présente.
Ce n'est pas étonnant: je me tourne sur la droite et vois un panneau étanche au sol avec une échelle d'environ six mètres.
Au-dessus il est inscrit à la bombe rouge fluo: "MACHINES" avec une flèche indiquant le bas.
Dois-je le prendre comme une invitation ?
Je réfléchis une seconde, je regarde depuis combien de temps je suis ici. Le soleil ne tardera plus à se coucher, les jours rétrécissent en cette période.
Mais il me reste assez de batterie sur mes lampes et mon appareil photo.
Je décide donc de descendre. Après je rebrousserai mon chemin jusqu'à la passerelle.
C'est parti pour une descente dans la salle des machines
Des vannes et des tuyaux recouvert d'une épaisse couche d'amiante par centaines !
Je m'assure à un solide point d'ancrage avant de descendre car je ne connais pas l'état des barreaux de cette échelle.
J'accroche mon sac à l'aide d'un mousqueton avec une petite sangle d'une cinquantaine de centimètres.
Une fois en bas, le sol est recouvert d'une tôle type grain de riz, rouillé par endroits.
La prudence est de mise.
L'air est plus étouffant. Il faut noter aussi qu'il y fait beaucoup plus chaud: je suis effectivement sous la ligne de flottaison.
Enfin tout ça pour dire que je ne m'attarderai pas dans cet endroit confiné, entre vannes, tableaux électriques et tuyaux recouvert d'amiante, je décide de remonter après quelques clichés.
Je remonte donc vers la sortie. Il ne me faudra pas moins de trente minutes pour retourner jusqu'à la passerelle.
Je finis enfin par revoir la lumière du jour, enfin celle du coucher de soleil. Je regarde ma montre, je serai resté exactement une heure trente-sept dans les entrailles de ce navire. J'aurai juré y avoir passé moins de temps !
Quand je vous dis que tout semble s'arrêter lorsque l'on pénètre ce navire fantôme...
Comme quoi se renseigner sur le coucher de soleil et pouvoir consulter l'heure à tout moment n'est pas un luxe, mais un outil indispensable !
Il me reste maintenant à quitter le navire. Une seule solution, la plus radicale, s'offre à moi: sauter.
Je suis à sept mètres au-dessus d'une eau profonde d'environ quartorze mètres, aucun souci de toucher le fond donc.
Pas le temps de réfléchir, il est temps de faire le chemin inverse. Je saute et nage en direction de la côte.
Je ne peux m'empêcher de me retourner une dernière fois pour regarder ce fantôme d'acier dont les rayons du soleil couchant font ressortir sa masse imposante.
Navire militaire abandonné. (Photographie non retouchée)
Navire militaire abandonné. Photographie montée avec le plug-in Topaz Lab dans Adobe Photoshop CC.
Le courant est -comme prévu- plus fort qu'à l'aller. Je dois constamment ajuster ma trajectoire.
Je mettrai plus de temps que prévu pour regagner la terre ferme.
Une fois arrivé, je sors mes serviettes, me sèche et m'habille chaudement. Je renfile mes gants chauds et prends le temps de ranger ma combinaison.
Je vérifie également le bon fonctionnement de mon équipement en espérant que rien ne soit abîmé ! Heureusement non, tout est fonctionnel.
Je regarde rapidement les photos prises, et profite des derniers instant de lumière pour revoir le parcours réalisé. Tout se sera passé comme prévu.
Enfin, je continu d'admirer ces monstres au loin, avant de quitter les lieux et de les laisser comme si personne ni avait jamais mis les pieds.
La pleine lune était de la partie.
Après avoir remonté péniblement la forêt en utilisant le matériel adéquat, la lune était déjà bien haute dans le ciel.
Enfin, je retrouve le parking sur lequel la voiture est stationnée.
Et je repars, sourire aux lèvres, en repensant à cette journée riche en émotions et en adrénaline !
Cette aventure se termine ici.
Mais une chose est certaine, je ne suis pas prêt d'en finir avec la photographie dans des endroits improbables...
Égypte 2003
Le 08 mars 2022
Le temple d'Isis, sur l'île d'Aguilka, proche de Philae.
Le temple de la déesse Isis à Philae situé sur l'île d'Aguilka au sud de l'ancien barrage d'Assouan. Ce temple a commencé à être bâtit par Nectanébo Ier près de quatre siècles avant notre ère.
Ce sont les Romains qui achèveront la construction de ce magnifique ouvrage dédié à cette déesse.
Égyptien au temple d'Isis à Philae.
L'ensemble du temple raconte l'histoire d'amour d'Isis et d'Osiris.
Avec leur fils Horus, ils sont les trois divinités du panthéon de la Basse-Égypte.
Bateau de police et policier Égyptien !
Ici, tout le monde est détendu. Après tout Isis, souvent représentée entrain de porter le ânkh, symbole de la vie égyptien, est capable de donner l'immortalité...
Un coca au temple de Philae. Un moment de détente sous cette chaleur !
Quand je vous dit que tout le monde est détendu !
Et hop un petit cola sur les berges du temple d'Isis proche de la ville de Philae.
Derrière moi, le Nil.
Temple de la déesse Isis à Philae.
Scène banale de la vie quotidienne. Une femme voilée marchant dans la banlieue de Louxor.
Nous venions de quitter l’aéroport de Louxor et nous nous dirigions vers le port.
J’ai voulu immortalisé cet instant dont la lumière du soleil faisait particulièrement bien réfléchir la lumière sur la végétation et les bâtiments.
Louxor, الأقصر en arabe, est une ville située sur la rive droite du Nil, en Haute-Égypte, située à 700 kilomètres au sud du Caire et à environ 300 kilomètre au nord d’Assouan.
C'est une ville moyenne d'un peu moins de 430 000 habitants.
Il s'agit de la cité antique de Thèbes.
Scène de marché dans les rue de Louxor.
Coucher de soleil à Louxor...
Coucher de soleil sur les palmiers et le temple religieux de Louxor.
L'histoire de cette ville, qui fut à plusieurs reprise capitale de l'Égypte, s'étale sur quatre millénaires.
Cette ville fut capitale tout d'abord vers 2000 avant notre ère sous le règne du pharaon Montouhotep II puis sous le Nouvel Empire, âge d'or de la civilisation égyptienne antique.
La ville d'Edfou
Cette petite ville de 130 000 habitants est située sur la rive ouest du Nil, dans une région particulièrement riche en blé.
Cette ville se trouve à 100 kilomètres de Louxor et à plus de 750 kilomètres du Caire.
Cette ville, comme beaucoup de cités Égyptiennes, a changé de nom plusieurs fois au cours de son histoire. En égyptien ancien, elle portait plusieurs noms: Béhédet, Djeba et Mesen.
Le dieu Horus y était vénéré sous le nom d'Horus Béhédet.
Vendeur de vêtements dans les rues d'Edfou.
Ville d'Esna en Égypte.
La cité égyptienne d'Esna était connu durant l'Antiquité sous les nom de Lounyt ou Senat.
Cette ville est située sur la rive ouest du Nil
Ville d'Esna.
Les deux principaux sites touristiques d'Esna sont le souk, et le temple de Khnoum, datant de l'époque ptolémaïque.
La construction de ce temple commença sous Ptolémée VI et se termina durant la domination romaine.
Chien sauvage sur les berges du lac Nasser.
Le lac Nasser, Buhayrat an-Nasir, est un lac articiel situé à la frontière entre l'Égypte et le Soudan.
La partie soudanaise porte le nom de lac de Nubie.
Créé à la suite de la construction du haut barrage, entre 1958 et 1970, ce lac est alimenté par les eaux du Nil.
Le barrage du lac Nasser
Barrage du lac Nasser, proche d'Assouan.
Lors de sa construction et pour contrer la montée des eaux, plusieurs sites achéologiques nubien, dont Abou Simbel et Philae, furent déplacés en hauteur, pierres par pierres.
Sur les rives du Nil...
Le nil est la voie qu'empruntait les Égyptiens pour se déplacer. Il apporte la vie en fertilisant la terre et garantit l'abondance.
Vue sur les berges du Nil. A l'arrière plan, les premières dunes du désert du Sahara.
Les anciens Égyptiens l'appelaient soit H'pi ou Hap, signifiant "rivière".
Il se déformera plus tard en eior. Hâpy était la personnification divine du Nil.
Le mot "Nil" vient du latin Nilus. Lui même issu du grec Neilos, qui serait lui-même une transcription déformée du terme égyptien Na-eiore, pluriel de eiore désignant le delta, et signifiant "cours d'eau".
Réservoir proche d'un temple égyptien...
Village égyptien sur les rives du Nil.
Instant de vie, capturé sur le toit de l'école du village. En arrière plan, le Nil.
Colonnes au temple de Karnak
Statuts égyptiennes au complexe religieux de Karnak.
Le complexe religieux de Karnak comprend un vaste ensemble de ruines de temples, chapelles, pylônes... situés au nord de Thèbes.
Ce grand complexe, d'une architecture remarquable, développé pendant plus de deux millénaires par les pharaons successifs, de Sésostris Ier au Moyen Empire à l'époque prolémaïque.
C'est le plus grand complexe religieux de toute l'Antiquité.
Deir El-Medîna, en plein désert, sous une chaleur torride.
Deir el-Médineh, ou Deir al-Médîna, est le nom d'un village, situé en plein désert, de l'Égypte antique où résidait les artisans chargés de construire les tombeaux et les temples des pharaons durant le Nouvel Empire.
Ce village mène à la vallée des Reines: nécropole des épouses royales et des filles des rois, dont la reine Néfertari, l'épouse de Ramsés II
Moi, sur le barrage du lac Nasser, أسوان, Égypte. Ce fut deux semaines inoubliables...
Le pont Confluence
Le 12 février 2022
48mm, 0,4 secondes à f/8 en 3200 ISO
Le pont Confluences à Angers de nuit.
En dessous coule paisiblement la Maine.
Le phare du Petit Minou
Le 24 novembre 2020
18mm, 25 secondes à f/18 en 100 ISO
Relié au continent par un large et imposant pont de pierre, le phare du Petit Minou est construit sur un îlot à côté d’un ancien sémaphore.
Il donne le cap à suivre pour entrer dans le goulet de Brest puis dans sa rade avec l'alignement du phare du Portzic.
Les vaguent démesurée à cet endroit en ont fait un lieu de prédilection pour les surfeurs et bodybordeurs...
Réveil du soleil
Le 23 novembre 2020
91mm, 1/200 secondes à f/5.6 en 2000 ISO
Il est 7h32, le soleil peine à se lever et nous offre ce magnifique dégradé de rouge, d'orange et de jaune au derrière des arbres dénudés par l'hiver approchant...
Phare du Portzic
Le 09 novembre 2020
18mm, 15 secondes à f/3.5 en 100 ISO
Un éclat de 2 secondes puis éclat de 6 secondes.
C’est depuis 1848 le signe de la fin du voyage et le soulagement des marins après de longues périodes passées dans le tumultueux et éprouvant océan Atlantique.
Le phare du Portzic étant le dernier phare avant le port et la ville de Brest.
Gelées matinales et balade brumeuse...
Le 09 novembre 2020
20mm, 1/250 secondes à f/8 en 200 ISO
Petite balade ce matin en lisière de bois. Au programme: gelée, 3°C et brume.
Bref il a fallut bien se couvrir mais rien de mieux pour se réveiller !
Collection Automne 2020
Le 06 novembre 2020
Ca y est l'automne est bien présent et sa se ressent ! Le froid, la brume matinale et même les petites gelées sont apparues ! Mais quel merveilleux moment pour sortir faire des photographies en forêt.
Du jaune, du marron, du rouge, et même encore un peu de vert que de belles couleurs qui nous montrent que bientôt tous ces arbres seront dénudés...
Viaduc de Morlaix
Le 19 octobre 2020
34mm, 1/15 secondes à f/5 en 3200 ISO
C’est le symbole de la ville de Morlaix, son viaduc ferroviaire le surplombe de soixante-deux mètres.
Il est né dans la seconde partie du XIXème siècle et a, dès lors été une importance capitale pour franchir la vallée.
Cet ouvrage d’art est conçu en deux niveaux. Le premier, piéton exclusivement à une quinzaine de mètres de hauteur, le second bien plus haut est utilisé par la ligne ferroviaire Paris-Brest.
Port Breton
Le 24 août 2020
21mm, 1/1400 secondes à f/7.3 en 100 ISO
Port du Conquet dans la brume...
Source: Service hydrographique et océanographique de la marine (SHOM)
Portrait profilé
Le 11 juin 2020
45mm, 1/250 secondes à f/7.1 en 100 ISO
Alicia D.M au mémorial pour la paix de Caen.
Le marais
Le 11 juin 2020
Assemblage de 7 photographies
14mm, 1/250 secondes à f/6.3 en 200 ISO
Maraie inondé près du pont de la libération de Prunier.
Les grues du port
Le 11 juin 2020
23mm, 1/1000 secondes à f/16 en 1600 ISO
Grues abandonnés au port autonome de Strasbourg.
Logotype concours A Chacun Sa Toile
Le 11 juin 2020
Un logo extrèmement simplifié pour laisser libre cours à l'imagination.
Un logotype simplifié au maximum. A vraie dire je me suis plus foulé sur la justification que sur la création !
Le concept
Quand l'art traditionnel (peintre, dessinateur...) rencontre le monde du numérique (webdesigner, designer, artiste DAO...)
L'explication
Ce logo se veut à la fois extrêmement simple
(laisser libre court à l'imagination de chacun) et justifié.
Nous avons deux carrés, l'un plus grand que l'autre, qui se superposent de façon à créer un troisième carré.
Ces carrés peuvent être interprétés comme des toiles vierges
(cf. laisser cours à l'imagination).
Le carré du bas, le gros, plus imposant, plus bas comme « plus lourd » représente le poids de l'art traditionnel celui qui est ancré dans l'histoire qui représente le réel, à contrario de l'informatique symbole du virtuel, de l’intouchable.
C'est
le deuxième carré, la deuxième toile, qui représente le domaine informatique.
Le numérique est plus jeune, plus petit, il a fait son apparition il y a peu.
Le placer en haut, le compare au ciel
(cloud en anglais, mot massivement utilisé en informatique) et donne une impression d’avenir, de décollage comme l’expression
- prendre son envol
Le fait d'être à gauche est le début de l'évolution
(cf. frise chronologique) et l'informatique a encore beaucoup à avancer et n'est qu'au début de ce qu'elle peut faire.
Enfin
le troisième carré, c'est la toile formée par la superposition des deux autres, Il est au cœur du logotype que nous venons de voir et est le symbole même de l'exposition.
C'est l'art numérique qui rencontre l'art traditionnel.
Implantation du logotype dans l'entête du site web de l'expo.
Le pont qui délivrera Angers.
Le 7 juin 2020
12mm, 1/320 secondes à f/5.6 en 200 ISO
Il s'agit d'un ancien pont ferroviaire en treillis de la ligne Angers - Candé situé sur la commune de Prunier.
Ce pont fut la clé de la libération d'Angers. Il a été pris par le 3rd Battalion of 11th Infantry Regiment
Une stèle en hommage aux combattants de la 5th Infantry division "Red Diamond" et aux 108 des leurs, tombés pour la libération d'Angers a été inauguré à proximité immédiate du pont.

Cimetière Américain de Colleville sur Mer
Le 6 juin 2020
95mm, 1/640 secondes à f/6.3 en 100 ISO
1944-2020. Remember.
Toujours plus bas.
Le 13 avril 2020
Extrait de mon récit "INSIDE" sur un vieil escorteur en attente de démantèlement au cimetière des navires de Landévennec.
[...]
L'odeur de graisse est de plus en plus présente. Ce n'est pas étonnant: je me tourne sur la droite et vois une porte étanche au sol avec une échelle d'environ six mètres. Au dessus il est inscrit à la bombe rouge fluo "MACHINES" avec une flèche indiquant le bas.
Je réfléchis une seconde, je regarde l'heure. Le soleil ne tardera plus à se coucher. Mais il me reste asser de batterie sur tous mes accessoires.
Je décide donc de descendre.
Vieille porte et eau stagnante...
Le 25 mars 2020
71mm, 1/160 secondes à f/5.5 en 2500ISO
Tempête sur la Loire
Le 21 février 2020
Des bourrasques de vent à plus de 100 kilomètres par heure, des embruns, les bateaux au mouillage bougent avec le clapot des vagues, les crêtes y sont blanche comme en mer, mais en plus petit.
Ce fut un moment parfait pour sortir prendre quelques clichés !
28mm, 1/320 secondes à f/10 en 200ISO
91mm, 1/200 secondes à f/5.6 en 320ISO
73mm, 1/200 secondes à f/5.5 en 200ISO
35mm, 1/320 secondes à f/5.6 en 200ISO
Infiltration en gare de triage
Le 24 janvier 2020
55mm, 30 secondes à f/22 en 200ISO
12mm, 1/60 secondes à f/3.5 en 200ISO
100mm, 1/250 secondes à f/5.6 en 1000ISO
100mm, 1/250 seconde à f/5,4 en 3200ISO
Verdure
Le 13 janvier 2020
40mm, 1/125 seconde à f/5,6 en 320 ISO
Et je me retrouva, dans un endroit onirique, un marais au couleurs nuancées d'un vert très pur...
Instant capuré au vallon du Stang Alar, à Brest.
Inquiétante quiétude...
Le 10 janvier 2020
Pas un bruit ce matin dans le brouillard. Il crachine, j'entends les goutte de pluie tomber dans l'eau.
C'est une ambiance étrange que dégage cet atmosphère. Une ambiance étrange oui, mais une ambiance plaisante...
Abandonnée...
Le 20 décembre 2020
20mm, 1/30 seconde à f/3,5 en 1600 ISO
30mm, 30 secondes à f/11 en 200 ISO
Cette nuit je deviens sérieux, anxieux, mais je découvre aussi un véritable terrain de jeu !
J’ai choisi d’utiliser ma lumière pour éclairer ce qui semblait être une salle de bain pour faire ressortir la blancheur de la pièce et ainsi créer une lumière d’ambiance. Cela ajoute un contraste saisissant
18mm, 100 secondes à f/6,3 en 200 ISO
J’ai fais bref passage la veille, une journée humide et froide de décembre, dans cette vieille bâtisse abandonnée…
28mm, 1/125 seconde à f/7,1 en 200 ISO
Vieux ballon de football dans le jardin défraîchit de ces vieux bâtiments défraîchient par le temps qui passe... - Et qui ne les arrangent pas ! -
20mm, 1/60 seconde à f/7,1 en 200 ISO
18mm, 1/80 seconde à f/10 en 200 ISO
Vieux graffiti sur un silo à grain rouillé...
Une nuit en forêt
Le 19 décembre 2020
Partir de la ville, rouler 15 minutes, et lever la tête pour trouver un ciel étoilé sans pollution lumineuse, avec pour seuls campanons, ces étoiles qui scientillent.
Côte sauvage, la mer d'Iroise...
Le 15 décembre 2020


Les mines d'ardoise de Trélazé
Le 11 décembre 2020
Exposition: 25 secondes
Exposition 15 secondes
Crue hivernale
Le 01 décembre 2020
Le phare de Kermorvan
Le 29 novembre 2020
Je vous en avait parlé lors de ma publication sur le phare de la Pointe Saint-Mathieu, voici le phare de Kermorvan.
Il est situé sur la sauvage et magnifique presqu'île de Kermorvan sur la commune du Conquet, le phare lui-même est en terrain militaire.

La presqu'ile est un endroit stratégique qui n'a pas échappée aux Allemands lors de la Seconde Guerre Mondiale. Ainsi elle est truffée de bunkers en tout genres, à même la falaise parfois.

Enfin, ce phare, ici pour des raisons évidente lorsque l'on regarde une carte marine, indique le cap à suivre pour passer l'infernal chenal du Four. Il en marque même l'entrée.
Le phare de la pointe Saint-Mathieu
Le 22 novembre 2020
Vingt neuf milles marin. C'est la porté théorique de la lumière de cet important phare de la côte Finistèrienne, le phare de la Pointe Saint-Mathieu.
En effet, avec l'alignement du phare de Kermorvan, il donne l'accès à l’impitoyable chenal du Four et avec le phare du Petit Minou et du Portzic, il forme l'alignement pour entrer en rade de Brest.
Classé Monument Historique, il vous faudra monter les 56 mètres et les 63 marches pour vous rentre au niveau de sa lanterne.

La vieille lanterne, bien plus basse que le phare, n'est plus utilisée à des fin de navigations maritimes mais sa silhouette est remarquable !
Falaise escarpées, mer calme et horizon sans fin. Le soleil se couchait sur la Pointe Saint-Mathieu.
Endroit stratégique oblige, le trafic maritime y est très surveillé.
C'est pourquoi se dresse un sémaphore à quelques dizaines de mètres du phare, où guettent la navigation maritime, des marins de la Marine Nationale.
Des personnes chargée de surveiller et protéger le littoral Breton.

Le phare se trouve quasiment au centre de la carte. Avec l'alignement du phare de Kermorvan (en haut à droite), il donne l'accès au chenal du Four en passant à tribord de la balise Tournant et Lochrist. Avec le phare du Petit Minou (gauche, on voit une partie du nom) et du Portzic, il forme l'alignement pour entrer en rade de Brest.
L'automne
Le 19 novembre 2020
Sony XPERIA XA2 Ultra
Chapelle
Le 13 novembre 2020
Nous grimpions jusqu'au sommet du Mont St Michel de Braspart dans les Monts d'Arrée sous un ciel chargé, pour atteindre cette petite chapelle datant du XVIIe siècle.
Pont ferroviaire
Le 13 novembre 2020
Le soleil se couchait, les rayons tapaient une dernière fois cet acier froid, coloré par la rouille installée depuis des dizaines d'années sur ce vieux pont de Segré qui autrefois portaient une voie ferrée.
- Ancien pont ferroviaire de Segré, à Angers
Une étoile sur un socle de granite
Le 08 octobre 2020
Quatre-vingt-deux mètres. C’est la hauteur du phare de l’Île Vierge, le plus haut phare d’Europe, l’un des plus hauts du monde.
Il est situé sur un îlot non loin du rivage, au nord de la côte finistérienne.
Je me souviens, c’était un 13 juillet. C’était un peu avant minuit, en allant jusque qu’ici, j’étais intrigué par la lune. Elle était brune, elle était immense aussi. Un silence accompagne cette photographie. Pas de vague, ni de vent, les bateaux ne bougeaient pas non plus. Une mer d'huile à la couleur du ciel. L'ambiance en devenait presque inquiétante. C'était une nuit de super lune. C'était un autre univers...
Tempête hivernale
Le 07 octobre 2020
Il pleuvait, le vent soufflait fort, les vagues déferlaient, je n'avais que rarement vu une aussi grosse et belle tempête. C'était le moment idéal, quoi qu'un peu dangereux, de sortir faire des photos.
C’est le milieu de l’après-midi, le vent souffle fort depuis la nuit dernière.
Des bourrasques glaciales soufflent à plus de quatre-vingt-dix kilomètres heures dans les terres, rajoutez vingt à trente kilomètres heures sur la côte et même encore plus en pleine mer.
Le ciel est gris, la mer aussi. Je ne sais même pas d’où venait l’eau qui renforçait ce froids. Certainement des embruns mêlés à la pluie.
La visibilité bien inférieure au mille, les embarcations restent clouées dans le petit port du Dellec et s’animent au rythme des vagues incessantes. La mer est bien formée, pourtant nous sommes encore dans la rade de Brest. Je n’imagine pas la situation en pleine mer.
Des creux de dix à douze mètres, parfois plus, sont annoncés dans le rail d’Ouessant, d’après la météo marine.
Je suivais un petit sentier côtier habituellement très fréquenté par les randonneurs. Aujourd’hui il était désert. Seuls quelques photographes, comme moi, bravaient les éléments, pour tenter d’obtenir quelques clichés de qualités, par un temps dont nous avions bien l’habitude dans la pointe nord du Finistère mais qui ce jour-là, surpassa les autres.

Le vent se renforce, la tempête durçit. La visibilité devient vraiment médiocre. On entends les cornes de brume siffler. Elle préviennent les navires tel le faisceau lumineux d'un phare.
Le danger est réel pour les embarcations dans la rade et le goulet.
Mais il est encore plus important pour les navires qui sont dans le rail d'Ouessant. C'est pour cela que le CROSS, le Centres Régional Opérationnel de Surveillance et de Sauvetage, de la pointe de Corsen est en alerte sur la VHF 16, le canal radio pour toute détresse en mer.

Le remorqueur d'intervention, d'assistance et de sauvetage, Abeille Bourbon, parfois appelé par l'indicatif UT515, est un navire basé dans le port de Brest qui, si les conditions météorologiques sont bonnes, reste à quai.
Lorsque le vent commence à souffler sérieusement, le navire se déplace et reste au mouillage dans l'anse de Camaret.
Si la vitesse du vent et la taille des vagues continuent de grimper, alors le remorqueur ira en première ligne en mettant le cap sur Ouessant, ce qui fût le cas lors de cette journée bien agitée !
La lune, ma plume
Le 03 octobre 2020
Photoshop
Quand je regarde la lune,
Je pense à l'infini,
Un campement de fortune,
Je commence mon écrit.
Quand tu regardes les étoiles,
Je vois tes yeux qui brillent,
A les peindre sur la toile,
Et mon âme s'évanouit.
Magie de la nature,
Pouvoir de la magie,
Nos pensées se sont enfuies,
Jusqu'à l'infini.
Ces pensées nous libèrent,
Je m’allonge sur la terre,
Je lève les yeux,
J’admire les cieux.
Les hauteurs de Lautenbach, la Forêt Noire.
Le 23 août 2020
Non loin de Strasbourg, la frontière passée, nous arrivons dans le land de Bade-Wurtemberg et nous nous arrêtons dans un petit village du nom de Lautenbach.
Cette petite bourgade est le stéréotype même d'un village montagnard au coeur d'une vallée, la vallée de la Rench.
Nous décidons de prendre de la hauteur et empruntons une route sinueuse. Un paysage remarquable défile mètres après mètres...
32mm, 1/100s à f/5,6 en 200 ISO
Arrivé au sommet, je m'assoie sur un tronc couché. La végétation laisse un vide qui offre un point de vue aussi unique que magnifique.
Je regarde ici et là, je photographie par-ci, par-là, j'écris aussi. En bref, je laisse ma créativité s'épanouir.
Je t’y amènerai
Je t’y embrasserai.
Bien plus qu’un été,
En haut de ce sommet.
Tu admireras,
Tu rêveras,
Oui être ici,
Est un paradis.
Nous quitterons la rue,
Nos habitudes, ce chahut,
Pour prendre du repos,
Là tout là-haut.
20mm, 1/80s à f/4,6 en 200 ISO
Une hélice bleue pas comme les autres.
Le 22 août 2020
L'hydrolienne Sabella D10, proche cousine de l'éolienne, est destinée à produire de l'électricité à partir non pas du vent, mais des courants marins.

Ce monstre bleu et jaune est prévu pour être installé dans le passage du Fromveur, un passage célèbre pour les forts courants de marées qui y règnent, et une navigation plus que dangereuse.
Ce courant est située sur la partie Sud-Est, Est de l'île d'Ouessant.
C'est l'île d'Ouessant qui bénéficie l'électricité générée par l'hydrolienne.
Rue St Malo
Le 20 août 2020
C'est une rue pavée, la plus vieille rue de Brest.
La nuit, elle appartient aux chats. Le jour, cette rue est gérée par l'asso Vivre la Rue c'est ce qui fait d'elle une rue unique et magique !

55mm, 0,3s à f/5,6 en 3200 ISO
A cette heure tardive, entre deux poses photographiques, j'y écris :
La rue Saint Malo à Brest,
C’est la vie, l’amitié et tout le reste,
C’est une rue joyeuse,
Ça se voit, cette rue elle est heureuse,
La rue Saint Malo à Brest,
C’est la plus vieille rue,
Il y a Elle, et tout le reste,
C’est la définition même de l’art de rue,
La rue Saint Malo à Brest,
Elle est sans pareil,
J’y passe et souvent je reste,
Car elle m’émerveille…
55mm, 1,6s à f/5,6 en 3200 ISO
Retour aux sources
Le 17 août 2020
Je passe le weekend en centre Bretagne, à Carhaix plus précisément. Mais ce samedi, c'est direction Brest.
Rien de mieux pour ressortir les appareils photos et retrouver les endroits que j'appréciais.

35mm, 1/320s à f/5,6 en 200 ISO
Rendez-vous au port de commerce, où j'ai commencé mon écrit...
Le bruit des vagues et toutes ces bouées,
Je regarde les bateaux assis sur le quai,
Derrière moi cette route goudronnée,
Sois disant restaurée,
Mais que je trouve bien défoncée.
Plus loin ces usines,
Qui tournent à plein régime,
Je vois cette fumée,
Ces ouvriers,
Casque sur la tête et les bottes aux pieds,
Dans ce port c’est une scène banale,
On se croirait un peu chez Zola, dans Germinal.
Port de commerce que je t’aime,
Des usine classées Seveso jusqu’à la Carène,
Ronronnement des moteurs,
La patience ! Ce que j’admire chez ces pêcheurs,
A tendre une perche,
A attendre une bonne pêche.
Quelques kilomètres après,
On quitte cette zone d’activité concentrée,
On passe par la gare de fret,
On croise pas mal de graffiti,
Certains parlent de vandalisme,
Je pense moi que ça donne de la vie,
Mélange de couleurs au style impressionnisme.
En fait,
Cette zone portuaire,
Elle est flippante et remplie de mystères,
Des vieux bâtiments désertés,
Complètement rouillés,
Aux bureaux vraiment modernes,
Couleurs flashy même trop contemporaine,
Certainement pour effacer les cernes,
De ce port chargé d’histoire.
Entre bois et métal,
Entre dockers et vandales,
La diversité c’est sur elle est là,
C’est pour ça que j’aime cet endroit,
Port de co’ jamais je ne pourrais me passer de toi !
Angers by night
Le 07 août 2020
Un soir d'été, à la promenade du Bout du Monde, promenade qui surplombe la rive droite d'Angers et son quartier de La Doutre et Saint-Jacques-Nazareth.

20mm, 6s à f/5,6 en 200 ISO
Le soleil avait déjà bien dépassé la ligne d'horizon à cette heure tardive, mais il donnait à ces nuage une couleur rosée exeptionnelle...
Riding Loaded
Le 31 juillet 2020
Ce soir, on a décidé de sortir le longskate Loaded Tan Tien Bamboo flex 2.
Peu de mots, surtout des photos !

35mm, 1/80s à f/4 en 250 ISO

Rafale | 35mm, 1/80s à f/4 en 320 ISO

35mm, 1/80s à f/4 en 640 ISO
Riding in the sun
Le 27 juillet 2020
Un samedi après-midi, 28° dehors, Alicia et moi décidons de sortir faire des photos. Où ? De quoi ? Bref on va sortir les longboards !

25mm, 1/250s à f/5,1 en 200 ISO
On ride en direction de la Maine, que de la descente, presque un downhill dans certaines rues ! Et petite scéance photo urbaine sous le pont.

50mm, 1/80s à f/4,9 en 3200 ISO
Desecente au coucher de soleil...
64mm, 1/160s à f/5,4 en 2500 ISO
100mm, 1/250s à f/5,6 en 3200 ISO
78mm, 1/200s à f/5,6 en 2000 ISO
Plongée au Dellec
Le 14 juillet 2020
Il fait beau, il fait chaud, mais l'eau est encore un peu froide, je sors la combi' 7mm. La mer est bientôt à son étale de pleine mer, toutes les conditions sont favorable à la découverte des fonds rocailleux non loin du petit port de l'anse du Dellec.
Session SUP au Moulin Blanc
Le 12 juillet 2020
Par un chaud midi d'été, quoi de mieux que de prendre sa planche et d'aller pique-niquer sur le rivage voisin !
deux kilomètres et trois cents mètres. C'est la distance qui sépare le surfshop du lieu où l'on à décidé de se rendre.
Mais pas de difficulté particulière dans l'anse du Moulin Blanc : pas de courant, pas de profondeur, juste un petit clapot à cause du vent qui nous ralentit un peu.
Sur la capture Géoportail ci-dessus, on constate que nous avons traversé de part et d'autre la base de vitesse du Moulin Blanc, habituellement utilisée pour le windsurf et battre des record de vitesse !
Kayak dans la marina !
Le 21 juin 2020
55mm, 1/800s à f/8 en 200 ISO
C’est l’été, il fait chaud mais je suis frileux et enfile le bas de ma combinaison de plongée. 7mm de néoprène, ça tient chaud !
C’est le moment idéal pour essayer quelques kayaks. Pour cela je reste dans le port, près de la rampe de mise à l’eau.
55mm, 1/1000s à f/8 en 200 ISO
Le kayak Loko de chez RTM (photographies) est un sit on top ultra léger et vraiment top ! En bref un bon petit moment de détente.